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Les produits du terroir Niçois

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L’authenticité du terroir !⁠

Les produits locaux

Je cuisine comme me l’ont appris ma mère et ma grand-mère, les excellents produits de notre région au fil des saisons, et c’est ainsi pour moi un grand plaisir de vous les faire découvrir.

Les produits de l’agriculture locale constituent l’essence de nos recettes traditionnelles.

Ils confèrent à nos plats des saveurs exceptionnelles, typiques et authentiques, chères à nos cœurs.

 

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Les producteurs locaux

Je privilégie les producteurs locaux, parce que leurs produits sont bons, frais, sains et savoureux, mais aussi parce que j’ai à cœur de soutenir leur travail, de les faire connaître et apprécier.

L’intérêt du circuit-cours c’est de pouvoir choisir ses produits sur place, en direct.

C’est aussi une vraie chance et un réel bonheur, de pouvoir préparer et déguster des légumes et des fruits de qualité, cultivés à proximité, afin d’essayer de vivre une vie plus saine et respectueuse de l’environnement.

« Notre assiette est le levier le plus puissant pour sauver la planète mais aussi pour améliorer notre santé. Et sur ce levier, nous pouvons tous agir. »

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Les plats emblématiques

    Actualités

    L'olive de Nice  AOP

    Les olives et l'huile d'olive de Nice

    La Caillette, c’est le nom de la « petite olive niçoise », le Cailletier étant la variété d’olivier majoritairement cultivée sur nos collines.
    Sa couleur varie du vert doré au noir, en passant par toutes les nuances de brun et de violet.
    Elle a une saveur subtile, un peu poivrée, sans acidité, et elle est à l’origine d’une huile très fine, réputée depuis toujours dans le monde entier.

    Les Caillettes se conservent naturellement dans une saumure à 10% de sel de mer. On peut les consommer au bout de 4 mois de macération, (vous trouverez ici les conseils pour les préparer)
    Elles se dégustent  traditionnellement à l’apéritif, mais s’insèrent  également avec bonheur dans certaines de nos recettes.

    L’huile d’olive de Nice, reconnaissable entre mille, est un or liquide au goût unique que nous dégustons comme un trésor. Son rendement moyen est de 1 litre d’huile pour 4 à 5 kg d’olives.
    Utilisée dans la préparation de presque tous les plats, et même certains desserts, l’huile d’olive est essentielle dans la gastronomie niçoise. Nous en consommons depuis toujours et nous avons beaucoup de chance, car les vertus de l’huile d’olive sont reconnues pour leur effet protecteur pour la santé.

    Aujourd’hui, l’huile, l’olive et la pâte d’olive sont commercialisées sous l’Appellation d’origine Protégée « Olive de Nice », qui garantit l’origine de la production.
    Au début du siècle, on comptait plus de 400 moulins dans le département, il n’en reste plus qu’une vingtaine en activité.
    Soyons reconnaissants envers nos aïeux qui nous ont transmis ces savoir-faire, et continuons à faire vivre nos traditions !

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    Actualités

    Le citron de Menton

    Des qualités gustatives uniques, grâce à la combinaison de la douceur du climat et de la composition du sol de culture

    La culture du citron et des agrumes s’est développée dans la région niçoise à partir du 16e siècle.

    Le « citron de Menton »  est une variété absolument typique. Il se caractérise par son goût unique et sa couleur particulièrement vive.  Il est doux et peu amer, sa saveur est légèrement sucrée, ses arômes sont intenses, et son acidité est modérée. Les huiles essentielles de son écorce lui confèrent un parfum spécifique s’approchant de la citronnelle.

    Bénéficiant de l’indication géographique protégée (IGP),  il est produit dans certaines communes des l’est des Alpes-Maritimes (Menton, Castellar, Gorbio, Roquebrune-Cap-Martin et Sainte-Agnès).
    Le citron de Menton est utilisé cru pour réaliser des jus, des assaisonnements ou des marinades.

    Il  sublime bon nombre de pâtisseries ou gourmandises, telles que les tartes au citron, panna cotta, cakes et gâteaux moelleux, macarons, marmelade et zestes confits  …

     

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    Actualités

    Les blettes niçoises

    Légume emblématique de la cuisine niçoise

    La blette est un légume incontournable de la cuisine du Comté de Nice.

    Appelée aussi « blette fine », ou « blette à couper », la variété niçoise a la particularité d’avoir des côtes fines et courtes, et des petites feuilles particulièrement tendres, avec une saveur douce, peu terreuse.
    Déjà présente sur le pourtour méditerranéen pendant l’Antiquité, ce légume vert semblable aux épinards était très apprécié des Romains.

    Poussant abondamment à l’état sauvage dans nos campagnes niçoises, les blettes étaient autrefois très appréciées par nos ancêtres, dont les conditions de vie étaient rudes.
    Ils ont ainsi appris à accommoder de multiples façons ce produit de la cueillette offert par la nature, plein de vertus et facile à cuisiner.
    C’est la raison pour laquelle les blettes composent un grand nombre de plats traditionnels de notre patrimoine culinaire, en recettes salées, mais également en version sucrée avec la célèbre tourte de blette (tourta de bléa).

    Elles sont utilisées notamment pour préparer les ravioli niçois, la trouchia (omelette), le tian de blettes, les merda di can (gnocchi verts), les barba-juan, la trule (boudin), les sardines farcies, les cannelloni, la poche de veau farcie … mais elles sont tout aussi délicieuses, juste fondues avec un peu d’oignon et d’huile d’olive !

    Vous comprendrez alors certainement l’origine du surnom des Niçois : « les caga blea  » ?

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    Les pois chiches

    Dans le Comté de Nice, certains produits constituent la base de nombreux plats !
    C’est le cas du pois chiche.

    Autrefois cultivé assez facilement par nos ancêtres au pied des oliviers sur les terres arides aménagées en restanques, ce légume sec avait l’avantage d’être un aliment très intéressant au point de vue nutritionnel.

    Riche en protéines et éléments minéraux, il se conservait facilement et permettait de subsister pendant les périodes difficiles.

    On en faisait alors des soupes, des purées, ou des ragoûts, et même de la farine pour fabriquer du pain de substitution, lorsque les récoltes de blé étaient mauvaises.

    L’usage voulait aussi que l’on prépare des pois chiches le Mercredi des Cendres, le Vendredi Saint et le Jour des Morts. Simplement cuits à l’eau avec des feuilles de sauge, on les mangeait avec un filet d’huile d’olive.

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